RAES Willliams

RAES Willliams

Bien le bonjour, je suis Williams et j’ai 19 ans. Je viens de la mission locale et j’effectue un stage au Fablab. Mon but est de découvrir, redécouvrir et approfondir mes connaissances dans le numérique, comme la programmation.

GODIN-ROCHELEAU Justin

GODIN-ROCHELEAU Justin

Bonjour je m’appelle Justin, j’ai 19 ans. Je viens de la mission locale. J’effectue un stage au Fablab pour apprendre sur différents domaines informatiques comme l’impression 3D.

Nos créations

Air Hockey ! Tout simplement.

Comme son nom l’indique, le but est de mettre des buts dans le champ adverse, le tout en ne dépassant pas le milieu de terrain. Le premier à 10 points gagne.

Ce jeu est créé sur l’éditeur de Microsoft MakeCode.
La première étape est de créer le terrain, les joueurs, et le décors. Puis de programmer les collisions entre les joueurs et le terrain. Une fois cela fait, il faut créer la balle et ses interactions. La dernière étape est de coder les buts et les scores des joueurs.

L’attaque des Caca !

Ce jeu consiste à dégommer des excréments sans se faire toucher.
Vous êtes avantagés, car vous incarnez un cheater avec plus de 10 vies. Vos missiles sont des papiers de toilette surdimensionnés.

Ce jeu a été créé sur la base d’un tutoriel de Microsoft MakeCode. Son programme a été modifié afin que vous ayez un avantage considérable. Les sprites ont été changés pour que les ennemis soient moins coriaces.

Comme je suis un fan de la culte série Breaking Bag, j’ai fait ces stickers à l’effigie de la série.

La première étape est d’importer et vectoriser une image vers le logiciel Inkscape.
Après ça, grâce au plotter de découpe et au logiciel Cutstorm, j’imprime via un papier d’une seule couleur spécifique tous les contours du futur stickers.
Il ne me reste plus qu’à retirer les parties inutiles, dans ce cas le blanc de l’image originale.

Ces stickers sont à l’effigie de ma marque de vêtements, Newty Club.

J’ai réalisé ces stickers à partir de Inkscape en important mon logo et en le vectorisant.
Puis grâce au logiciel Cutstorm et au plotter de découpe, j’ai pu imprimer tous les contours du sticker sur un papier spécifique.
Il me suffit de retirer toutes les parties inutiles de mon futur stickers.

Cette modélisation, que vous voyez au dessus, est la représentation en 3D d’un bâtiment de type Haussmannien.
Il a été modélisé dans le logiciel en ligne Tinkercad.

Je me suis inspiré de photos.
Pour la réalisation j’ai commencé par les murs et balcons du premier au dernier étage, puis par le toit et pour finir les fenêtres, portes et détails.

Le problème est que ce logiciel n’est pas très complet et la caméra laborieuse. On ne peut que modéliser à partir de formes géométriques pré-faites et au nombre limités.

Voici ma modélisation 3D réalisée via Tinkercad.C’est un porte-clé en forme de Pokéball.

J’y suis allé au feeling, j’ai commencé par créer la Pokéball. Puis je me suis inspiré des modèles déjà présents sur le logiciel, pour former une sorte de personnage. J’ai ajouté le texte Newty qui est le nom de ma marque.

Le logiciel n’a pas beaucoup de fonctionnalités, peu intuitif.

Eh oui, encore une création à l’effigie d’une autre série que j’adore, Doctor Who.

L’illustration, se trouvant sur le T-shirt, représente le douzième docteur joué par Peter Capaldi. C’est un acteur très populaire chez les fans de la série.
Sur la tasse se trouve le TARDIS avec le logo actuel de Doctor Who. Le TARDIS est un vaisseau qui en un instant, voyage dans le temps et l’espace.

J’ai commencé par rechercher des éléments.
J’ai photomonté la future illustration de mon T-shirt et celui de mon mug.
Une fois fini, j’ai imprimé les images sur des feuilles spécifiques.
Les impressions, grâce à la presse à chaud, ont transféré les images de la feuille au T-shirt puis mug.
Après le transfert le mug doit être pendant quelques minutes dans une eau chaude.

J’ai créé un mug à l’effigie de ma marque de vêtements.

L’illustration du mug a été créé par le célèbre el famoso Justino. Le dessin a été créé grâce à une tablette graphique.
Le mug est l’une de mes créations ultimes, et le mug a été fabriqué par mes propres soins.

Je suis par la suite passé à l’étape suivante, l’impression par sublimation. Les deux designs ont été imprimés ainsi. Les impressions sont par la suite transférées à partir des feuilles, jusqu’à l’objet par la presse à chaud.
On peut dire merci à Océane, qui n’a pas peur de se bruler les mains.

Mes créations – Williams
J’ai fait ces miniatures de vidéo via le logiciel Gimp.
Évidemment les vidéos n’existent pas, seul les miniatures sont réalisées.
J’ai choisi de faire des miniatures, car elles nécessitent de connaître de multiples fonctionnalités pour les réaliser.
Avant de faire cela, je ne connaissais pas du tout Gimp. J’ai pu m’acclimater avec le logiciel.

Une miniature, enfin mes miniatures se composent d’un fond, du titre de la vidéo et des éléments qui illustrent le sujet. Aussi d’un contour pour donner une transition entre les bords, et le contenu de la miniature.

La première étape est de placer les éléments d’illustrations et le contour. Puis les attribuer un ordre dans les différents calques. Le contour se place en première position des calques.
La deuxième sera d’ajouter le texte, le placer au dessus des éléments d’illustrations. Changer les paramètres de police et enfin de lui donner un effet de 3D. Pour cela, il faut dupliquer en 3 exemplaires le titre, lui changer sa couleur et les décaler un peu de l’original.
Il ne reste plus qu’à mettre le fond avec un effet de flou si besoin. Et d’appliquer les effets sur les autres éléments. Comme une transparence sur le contour.

Notre court métrage
Scénario
La première étape dans la conception de notre court métrage est évidemment le scénario. Mais dans la création d’un scénario, il y a plusieurs étapes.

La première est de faire un synopsis du futur métrage en 3-4 lignes. Et de lister les personnages.

La seconde, la plus longue est d’écrire le vif du scénario. Même si il y a une façon précise de l’élaborer, nous avons fait à notre manière.
Nous l’avons divisé en séquence, il y en a 6. Puis nous la subdivisons en un ou plusieurs plans qui ont un lien.
Dans ces divisions, dans un premier temps, on écrit le déroulé de l’histoire, en n’hésitant pas à détailler.
Dans un deuxième temps les dialogues. Nous avons fait attention de ne pas écrire les dialogue dans le résumé du, ou des plans, pour ne pas faire doublon.

Nous avons élaboré le scénario ensemble. Mais selon les séquences, l’écriture est plus ou moins à l’image de Justin ou de Williams.
Par exemple, les premières séquences sont plus à l’image de Williams, contrairement aux dernières qui le sont de Justin.

Storyboard
La différence entre le cinéma et la littérature, c’est que l’audio-vidéo est omniprésent, alors que la littérature n’en possède pas.

Il faut, avant de tourner, prévoir comment on image notre scénario. Le storyboard est ultra utile pour cela.
Nous pouvons organiser le placement de la caméra, ses mouvement, ce qu’on décide de filmer…

Chaque case représente un plan.
Chaque feuille contient 9 cases. Si la séquence est finie avant les 9 cases, la séquence suivante commence sur une nouvelle feuille.
Nous avons organisé de cette manière pour mieux se repérer.

Le storyboard nous a vraiment aidé à se repérer. Cette aide a servi du tournage au montage.

Tournage
La partie la plus importante de toute, le tournage. Cette partie nous a demandé beaucoup de temps avec 3 jours de tournage.
Nous étions accompagnés de quelques figurants et de cadreurs hors pair.

La première journée de tournage, les séquences 1 à 3 ont été tournées.
On peut croire que cela a été tourné dans l’ordre, mais non. Pour des raisons pratiques, nous avons filmé en premier les plans où nous étions dehors. Puis celles en l’intérieur.

La deuxième journée, c’est au tour des séquences 4 à 6.
Nous avons commencé par la séquence 6, car elle ne nécessitait pas l’absence de certaines personnes. Ensuite le reste des autres plans, sauf un. Ce dernier nécessitera un dernier jour de tournage.

Au niveau du placement de la caméra, c’est nous qui avons géré. Mais les déplacement pendant l’action, n’était pas possible sans l’aide d’un cadreur.
Encore une fois le storyboard nous a beaucoup aidé.

Montage
Ma partie préférée, le montage.
Le film est constitué de 6 séquences comme, nous l’avons vu plus tôt. Du coup, j’ai fait le montage des 3 premières séquence, et Justin les 3 suivantes.

Comme je n’avais pas accès à Première Pro, je l’ai fait sur Davinci. Je ne connaissais pas ce logiciel avant le métrage, mais je me suis vite habitué.

Il y a plusieurs étapes dans le montage d’une vidéo.

La première est le dérushage.
Il consiste à sélectionner les bonnes prises des plans filmés pendant le tournage. Les plans qui ont été filmés, s’appellent des rushs.
Et de couper les parties inutiles, tout en faisant attention, que la partie gardée concorde aux précédentes et suivantes.

La deuxième est de modifier le son des rushs sélectionnés.
Comme nous avons enregistré le son avec des micro-cravates, il est de mauvaise qualité.
Le but était d’amélioré le son, avec un réducteur de bruits, et quelques effets pour faire ressortir les paroles.

La dernière la plus longue, est d’ajouter les effets, bruitages et transitions.
Comme exemples d’effet, l’intégration des faux logos ou d’une horloge, le changement de période dans un même plan…
Les transitions doivent être softs. Des fondu au noir ou des fondu flou, pour ne pas faire tâche.

Le montage est une partie indispensable dans tout court métrage. Elle permet de rythmer, d’améliorer le film qui n’est, avant le stade de montage, qu’une pile de vidéos brutes.

J’ai pu amener mon PC qui contient Première Pro et After Effet. J’ai monté les séquences 4 à 6.
Après ma partie du montage finie, moi et Williams avons assemblé les 2 parties de la vidéo, fait le générique et ajouté les derniers détails.

Mais avant que ma partie aie fini, j’ai du faire plusieurs étapes dans mon montage.

La première est la modélisation du portail sur After Effet. J’ai commencé par ça, car je n’avais pas tous les rushs de mes séquences. Elle ne nécessitait d’aucun rush.

Puis comme Williams, j’ai dérushé et ajusté les sons.
Les sons étant enregistrés les jours suivants, ne sont pas de même qualité selon les plans.

Ensuite j’ai mis les transitions, effets et bruitages, et la colorimétrie.
La colorimétrie est très important dans une vidéo, cela va change les teintes de couleurs pour rendre plus beau le court métrage .
J’ai également ajouté des barres horizontales, pour donner un effet cinématographique.

Une dernière chose que je peux ajouter, est que le storyboard m’a aidé à me retrouver dans mon montage.